Charles Leclerc a décrit une séance de qualification extrêmement compliquée, marquée par une SF-25 imprévisible et difficile à maintenir en piste. Dixième au terme de la Q3, le Monégasque explique avoir poussé à la limite sans jamais réussir à transformer ses efforts en véritable performance.
"Une catastrophe" a-t-il lâché en carré des interviews.
"Il y a un peu de tout, malheureusement. Du sous-virage en milieu de virage, du survirage à l'entrée et à la sortie. C'est un week-end de course incroyablement difficile rien que pour piloter et garder la voiture en piste."
"C'est frustrant de voir qu'en prenant un maximum de risques, un bon tour ne nous amène qu'une dixième place et rien de mieux."
Interrogé sur les propos de Lewis Hamilton, qui jugeait la voiture un peu plus cohérente qu'en Sprint malgré un rythme toujours insuffisant, Leclerc partage le diagnostic de son équipier.
"Je suis d'accord avec le ressenti de Lewis. La voiture ne semble pas si mauvaise, elle ne donne pas l'impression d'être très loin du rythme, mais quand on regarde les chronos, on est très, très, très loin."
"C'est simplement la performance de la voiture en ce moment, nous ne sommes pas là où nous voulons être. J'ai beaucoup changé de choses sur la voiture depuis hier, mais je n'ai pas réussi à en tirer davantage."
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